Voie libre pour Walid Sadi pour un siège au Comex de la CAF

Voie libre pour Walid Sadi pour un siège au Comex de la CAF

La Tunisie a retiré sa candidature pour les élections du Comité exécutif de la Confédération africaine de football. La voie est libre pour Walid Sadi pour récupérer le siège de l’Algérie au Comex, en étant le seul candidat de la zone de l’Afrique du Nord.

Élu président de la Fédération algérienne de football en septembre 2023, Walid Sadi a pour objectif de récupérer le siège de l’Algérie au Comité exécutif de la Confédération africaine de football. Selon plusieurs médias algériens, il a déposé sa candidature, avant la date butoir fixé pour hier le 12 novembre. La voie est libre pour le premier responsable à l’Instance fédérale suite au retrait de la Tunisie, où Hocine Djenih devait se porter candidat.

« Une source au sein de la Confédération africaine de football a déclaré, ce mardi 12 novembre 2024, à Mosaïque FM, que la Tunisie avait retiré sa candidature aux élections du bureau exécutif de la CAF, quelques heures avant l’expiration du délai d’acceptation des dossiers », révèle le média tunisien, connu pour ses informations crédibles.

Ainsi, Walid Sadi sera l’unique candidat de la zone de l’Afrique du Nord aux élections du Comex de la CAF, prévues le 12 mars 2025. Du coup, il n’y aura pas de vote et Sadi aura un siège au Comex, conformément à la loi.

Il est temps de récupérer le siège de l’Algérie au Comex

L’Algérie est absente du Comité exécutif de la Confédération africaine de football depuis plus de sept ans, soit depuis 2017, la fin du mandat de l’ex-président de la FAF Mohamed Raouraoua. Il est temps de récupérer le siège qui permettait à notre pays d’avoir son mot à dire au sein de l’instance africaine et surtout pour faire face au lobby anti-Algérie.

Rappelons que l’ex-président de la FAF, Djahid Zefizef, s’était porté candidat pour un poste au Comex de la CAF en juillet 2023. Hélas, il avait échoué face au Libyen Abdelhakim Al-Shalmani. Un échec cuisant qui avait précipité son départ, une année seulement après son élection à la tête de l’Instance fédérale.