Face à la recrudescence des cas de Covid-19, plusieurs pays se voient renforcer les mesures préventives pour éviter un autre drame sanitaire notamment avec l’apparition du variant Omicron. Parmi eux l’Italie.
Confrontée depuis quelques jours à l’augmentation du nombre de cas de Covid-19 lié au nouveau variant « Omicron », l’Italie multiplie les mesures barrières et durcit les conditions d’accès à son territoire pour les voyageurs.
En effet, le ministère italien des Affaires étrangères a décidé, hier dimanche, d’introduire de nouvelles mesures pour les voyageurs. Outre l’interdiction des voyages touristiques, l’Italie rend obligatoire les mesures barrières pour pouvoir entrer sur son sol.
Masque « FFP2 » et test PCR « négatif »
Face à la montée des cas de Covid-19 lié au variant « Omicron, tous les voyageurs à destination de l’Italie sont sommés de porter un masque de « type FFP 2 » au risque de se voir refouler. Une nouvelle mesure qui s’ajoute à celles déjà en place depuis le 14 décembre dernier et qui seront valables jusqu’à jusqu’à 31 janvier 2022.
Par ailleurs, les voyageurs algériens devront un certificat attestant le résultat négatif d’un test (PCR) réalisé au plus tard 72 ou un test antigénique réalisé au plus tard 24 heures avant l’entrée sur le territoire italien, à présenter à toute personne chargée d’effectuer cette vérification.
Les voyageurs doivent également savoir que l’entrée sur le territoire italien n’est autorisé « qu’en présence de raisons impératives spécifiques, telles que : raisons de travail, de santé ou d’études, urgence absolue, retour à son domicile, son domicile ou sa résidence ».
Ces mesures restrictives ont été adoptées, compte tenu de « la restriction temporaire des déplacements non essentiels dans l’espace Schengen », rappelle l’ambassade d’Italie en Algérie ajoutant que les voyages pour le tourisme ne sont pas autorisés.