Depuis la réouverture partielle des frontières aériennes annoncée par les autorités algériennes le 1er juin dernier, la joie de cette reprise a été étouffé par la cherté des billets que ce soit chez les compagnies dites classiques ou chez les compagnies aériennes Low-cost, les prix des billets est un sujet qui fâche.
Ces prix sont excessivement chers, notamment vers et depuis la France, qui, pour les algériens demeure une destination très prisée que ce soit pour les études, le travail ou même pour un voyage touristique.
L’amélioration et le changement de cette situation ne sera pas pour bientôt, entre la hausse importante des cas de contamination de Covid-19 en France qui ne permettra pas l’augmentation du nombre des vols ou encore le prix du pétrole qui a augmenté, pas de réduction prévue.
La cherté des billets persiste
Pour le mois de décembre, les prix restent chers même chez les compagnies low-cost notamment pour la ligne Paris – Alger, à l’instar de Transavia avec des billets à partir de 590 euros plus chère qu’Air France qui proposent des billets à partir de 570 euros, pareil pour ASL Airlines, un simple aller à partir de 559 euros. Des prix exorbitants chez toutes les compagnies aériennes pour cette ligne alors que d’autres déboursent moins de 100 euros pour un aller – retour.
Il convient de noter que depuis la France, les prix ne sont pas aussi chers pour d’autres pays notamment des pays voisins comme la Tunisie, ce qui nous pousse à s’interroger, pourquoi cette ligne connait les billets les plus chers?