La situation épidémiologique se corse dans les quatre coins du monde obligeant les gouvernements à mettre en place des mesures préventives, certaines plus strictes que d’autres afin d’endiguer la propagation du Coronavirus et surtout, de son nouveau variant Omicron. Ces mesures touchent principalement le domaine des voyages et des transports.
La principale agence sanitaire américaine a émis hier une recommandation sanitaire aux citoyens américains, les conseillant de ne pas voyager en France, Portugal, Chypre, Andorre, Le Liechtenstein, la Jordanie, le Mali, les îles Fidji et la Tanzanie, et ce, à cause du haut risque du à la flambée du nombre des cas de contaminations de Covid-19 dans les pays susmentionnés.
Les États-unis durcissent le ton avant les fêtes de fin d’année qui dessinent en perspective de nouvelles vagues dangereuses, d’où les mises en garde notamment avec l’apparition du nouveau variant Omicron. Les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) ont expliqué que même les voyageurs vaccinés ne sont pas épargnés d’attraper ou de faire répandre les variants. Un constat qui fait froid dans le dos sachant que jusque-là, la vaccination était une mesure principale dans la lutte contre la propagation du virus.
Concernant le voyage vers l’Algérie
Lorsque l’on se rend sur le site de la principale agence sanitaire aux USA, en l’occurrence le CDC, et on cherche des informations concernant le voyage vers l’Algérie, on trouve « level unknown » suivi d’une recommandation d’éviter de voyager vers l’Algérie sauf en cas d’obligation compte tenu qu’on doit être entièrement vacciné avant le voyage.
Pourtant, l’Algérie ne figure pas dans la liste des pays à haut risque (niveau 4). Pour rappel, un test PCR négatif réalisé dans les 24h avant le départ et un schéma vaccinal complet sont les conditions de voyages vers les Etats-unis.