Depuis la propagation de la pandémie de Covid-19 dans le monde, il y a deux ans de cela, le secteur du trafic aérien a connu de nombreux changements, où la gestion des vols internationaux n’est plus la même.
En effet, l’espoir pour la reprise des vols et la réouverture des frontières avait suscité, et ce, avec l’arrivée des vaccins anti-Covid.
L’Union européenne quant à elle, a créé une certaine complication. Cette dernière n’accepte pas tous les vaccins pour le moment, mais uniquement quatre, reconnus par l’agence européenne des médicaments (EMA), dont AstraZeneca, Pfizer/BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson (Janssen). Une situation qui cause le malaise pour les voyageurs, qu’ils ne doivent pas seulement être vaccinés, mais l’avoir été par le bon vaccin, exigé par le pays de destination.
Le vaccin chinois Sinovac s’élargit sur d’autres pays
En effet, la liste des pays européens, faisant partie de l’espace de Schengen, s’élargit. Ces derniers ont enfin pu accepter le vaccin chinois Sinovac, dont la majorité des Algériens ont été vaccinés avec. Celui-ci est reconnu par l’organisation mondiale de la santé, comme preuve de vaccination, a fait savoir le site spécialisé Visa Schengen Info.
Selon la même source, neuf pays européens, dont l’Autriche, Chypre, la Finlande, La Grèce, l’Islande, les Pays-Bas, l’Espagne, La Suède et la Suisse, reconnaissent actuellement le vaccin Sinovac.
Il convient également d’indiquer que parmi les neuf pays susmentionnés, l’Espagne est la seule concernée par la décision du 1er juin dernier, portant sur la réouverture des frontières en Algérie, où quatre vols sont opérés de et vers les deux pays, par les compagnies aériennes Ai Algérien et Vueling.